Christelle Berquet, enseignante d'économie, nous explique : « C’est l’occasion d’étudier un territoire rural, la mise en place de ses identités et de ses dynamiques pour répondre aux questions ayant trait à la régulation, à la valorisation ou à la protection des ressources. Le stage offre l’opportunité de s’interroger sur les impacts des activités humaines sur les territoires ».

 

Cette année, le territoire choisi était la vallée du Léguer. Les élèves ont pu travailler sur les communes de Loc Envel et Belle-Isle-en-terre. La zone d’étude était entre autres la vallée du Guic à Loc envel et le léguer et ses divers aménagements. En effet, le léguer bénéficie du label Rivière sauvage et d’une convention "havre de paix pour la loutre" avec le Groupe Mammalogique Breton, une association de protection de la nature (loi 1901) qui œuvre sur les cinq départements de la Bretagne Historique.

Ils ont pu étudier plusieurs aspects : les ressources naturelles, économiques, culturelles et patrimoniales, à partir de l'eau et de sa qualité, des intérêts faunistiques et floristiques, des aménagements humains comme le Site de Kernansquillec ou La vallée des papeteries et l’histoire de la rivière. Ils devaient prendre en compte l’impact des activités humaines sur la rivière, des activités industrielles, de loisirs et agricoles et réfléchir à la façon de concilier le développement d'un territoire rural et le développement durable.

 

Pendant la semaine, ils ont également enregistré un zapping sonore pour la Radio Kreiz Breizh et réalisé un carnet de voyage.

 

Résumé de la semaine en images :